Parlons un peu du code :
Oui, du code, car si l'image est cryptée, il faut un code pour la décrypter !!!
Le code utilisé par Navragon est à 16 bits (2 octets : code_1 et code_2)

Ce code est dans le crypteur ; il est dans le code source (le code est facilement identifiable dans le fichier .asm)

Pour le décodeur (à transistor ou avec OSD), le code doit être entré dans le décodeur par l'utilisateur (ou "abonné") ( vous pourrez en essayer plusieurs  !! )
Le pic 16F84A étant limité en nombre de pattes, j'avais utilisé dès le départ un moyen un peu original d'entrer le code :
un clavier à roues héxa :

Ce clavier utilise 2 registres à décalages (8 vers 1) à savoir le CD4014 auquel j'avais fait allusion ici
Le schéma en est fort simple :

4 roues héxa (avec des résistances à la masse ) sont réliées aux 2 octets des 2 CD4014
qui peuvent donc être lues via un protocole fort simple en série avec seulement 5 fils ( +        -        horloge        PS      donnée)

Le code est lu par le PIC qui peut :
soit le lire constamment (auquel cas le clavier doit être branché à demeure) -- c'est le cas du décodeur "simple"
soit le mémoriser en eeprom (après quoi le clavier peut être débranché) -- c'est le cas du décodeur à OSD
il peut aussi être programmé en eeprom lors de la programmation du pic (c'est le cas du crypteur )

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